Un bon chocolat chaud, sa réchauffe le coeur tu sais ? ; Mackenzie

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Il fallait que je fasse le pleins de mes idées, rien n'allait dans ma vie pour le moment. D'abord mon père qui décide de contrôler ma vie en partie. Puis mon meilleur ami, qui décide que je dois arrêter d'être trop méchante avec mon père. Pourtant, il sait parfaitement bien que je suis incapable d'y parler depuis que je sais qu'il trompait ma mère. Puis, voilà après une dispute entre moi et lui à éclater, je m'étais mise à pleurer toute les larmes de mon corps, pourtant habituellement je ne pleurais jamais, jamais. Certe j'avais trop d'orgeuil, mais j'étais comme j'étais.

J'avais demander un billet pour le prochain train qui partait pour Los Angeles, je devait partir loin d'içi pour un moment, peut-être qu'à mon retour tout allait s'arranger. Ouais, je n'y croiyais pas tellement mais je devais me convaincre un peu. Puis, je n'avais pas énormément de bagage, simplement un simple sac ou j'avais fourrée des habits, mon ipod ainsi que mon ordinateur portable puis plein d'autres effets. Oui, je devais partir pendant environ deux-trois jours, tout ou plus.

Pendant que je cherchais mon ipod dans mon sac, plaquant plusieurs personne au passage. Je m'arrêta pour mieux chercher mon ipod, j'avoue que chercher pendant que vous marchez n'est pas très fort. Quand je m'arrêtai, je regarde autour de moi. J'avais une soif énorme, très énorme. Je regarda autour de moi, habituellement près d'une gare il y a un café ou quelque chose du genre, non ? Je regarda mon billet, je vis que le train devait arriver dans environ 40 minutes. J'avais le temps d'aller me cherchez quelque à boire, une boisson chaude sans doute. Pendant que je marchais, je plaqua une personne, toute ces affaire s'envola et tomba sur le sol.

Depuis quelques temps, Mackenzie avait l'esprit troublé. En fait, depuis sa plus récente discussion avec Cheyenne, elle ne savait plus trop quoi penser du Dorchester Decode Center et de l'aile dans laquelle elle étudiait à l'université. Croyant pouvoir se libérer les esprits, elle avait décidé, alors qu'elle avait une semaine de vacances, de prendre un train afin d'aller retrouver ses parents et, peut-être, pour réfléchir. S'étant armée de patience, la jeune femme avait rempli des valises pas trop grosses, emportant seulement le nécessaire et sachant qu'il y avait suffisamment de choses chez ses parents pour qu'elle n'ait pas besoin de s'encombrer.

Puis, la journée du départ venue, Mackenzie avait pris le métro, direction le centre-ville et, plus précisément, la gare centrale. Étant déjà venue deux jours auparavant, elle se souvenait à peu près du chemin qu'elle devait emprunter pour ne pas se perdre. S'étant préparée largement à l'avance, elle arriva à la gare plus de deux heures avant le départ du train. Choisissant de ne pas perdre son temps à ne rien fare, elle sortit un livre de son sac et se mit à le parcourir tandis qu'elle attendait sur un banc.

Affamée après environ une demi-heure, la jeune femme finit par se lever, traînant sa valise et son sac avec elle, afin d'aller se chercher quelque chose à manger ou à boire. Tandis qu'elle suivait un chemin bien défini pour elle, Mack' était presque rendue lorsqu'elle se fit frapper par une jeune femme d'une façon si violente qu'elle échappa toutes ses affaires et qu'elle tomba au sol. Effrontée, elle dit, avant de se relever, espérant au moins que la personne ne serait pas rendue trop loin:

- Ça ne va pas non !? Pousser les gens comme ça !!

Mackenzie était tellement frustrée qu'elle ne remarqua même pas qu'elle connaissait la personne qui lui avait foncé dedans. Pour l'instant, elle pensait plutôt à lui faire comprendre qu'elle n'était pas contente du tout...

Je n'étais pas partie après avoir plaquée la personne sauvagement. Cependant, je l'aurais fais, si les affaires de la personne ne s'étaient pas éparpillés partout sur le sol de la Gare Centrale de Montréal. Pendant, que je me penchais pour aider la personne, celle-ci lâcha d'un ton furieux : - « Ça ne va pas non !? Pousser les gens comme ça !! »

Je ne savais pus trop quoi dire. Habituellement, j'aurais répliquée d'un ton menaçant, mais cette fois était différente, je ne connaissais pas la personne qui était près de moi. Certes, je n'aimais me faire parler de cette manière. Je releva la tête, mais je reconnue pas la personne devant moi, elle c'était baissée pour ramasser ses affaires. Je répliqua d'un ton calme, enfin selon moi :

- Excuse-moi, je ne regardais pas où j'allais.

La personne devant elle, releva la tête, après avoir terminé de ramasser ses affaires. Je reconnue immédiatement la personne qui était devant moi.

- Mackenzie ?

Mackenzie était une bonne amie à moi, je la connaissais depuis que j'étais arrivée à Montréal. Elle m'avait aider à m'intégrer, depuis ce jour nous nous étions liée d'amitié.

Arrivée bien en avance à la gare, Mackenzie avait eu le temps de lire avant d'avoir faim et de décider d'aller manger un quelque chose. Chargée de ses choses, elle s'était dirigée vers un café, où elle comptait acheter un truc ou deux, mais n'avait pu se rendre complètement puisqu'elle s'était fait frapper par une autre personne. Énervée par la situation, elle s'était alors énervée contre la personne en lui criant que ce n'était pas une bonne chose de pousser les gens ainsi.

Encore frustrée, elle entendit à moitié les excuses de la personne qui se trouvait devant elle et ne fut sortie de sa bulle de mauvaise humeur que lorsqu'elle entendit son nom. Jetant un coup d'oeil sur la personne tandis qu'elle se relevait, elle remarqua alors qu'elle la connaissait: il s'agissait de Sydney ! Les deux jeunes femmes s'étaient rencontrées à l'arrivée de Sydney à Montréal et Mack' l'avait aidée à s'intégrer, faisant en sorte qu'elles s'étaient progressivement liées d'amitié.

- Sydney ? Qu'est-ce que tu fais là ?!

Puisque Mackenzie n'avait pas l'habitude de croiser des gens qu'elle connaissait quand elle allait à la gare centrale, elle n'avait pu s'empêcher de poser la question à Sydney, tentant de comprendre pourquoi son amie se trouvait à la gare.

S'attendant bien sûr à ce que la question lui soit retournée, Mackenzie était tout à fait prête à répondre à la question. Toutefois, sachant que son amie était étudiante en journalisme, elle ne comptait pas lui avouer que la véritable raison était due à ses doutes à propos du D.D.C., mais plutôt parce qu'elle s'ennuyait de sa famille et qu'elle comptait les revoir.