Il faut que je te croise le seul jour où je viens ici ! { Maël }

Vous n'en croirez pas vos yeux: Cheyenne prendra le train de banlieue pour retourner chez elle ! La jeune femme a bel et bien une voiture, une jolie voiture d'ailleurs, mais ce jour-là, Cheyenne était prise pour prendre le transport en commun, comme la majorité des étudiants, tout simplement parce que sa voiture était au garage pour un changement d'huile habituel, ainsi que pour poser ses pneus d'hiver. Cheyenne avait appris à vivre avec ces rendez-vous, mais jamais avec le fait de prendre le train de banlieue pour retourner chez elle. Habitant trop loin pour pouvoir prendre le métro ou l'autobus, Cheyenne prenait un train, d'autant plus qu'elle habitait à quelques minutes d'une des stations de ce train.

Heureusement, la gare était à quelques pas de l'université, là où Cheyenne avait dû se rendre durant la journée non seulement pour avoir des cours, mais aussi parce qu'elle devait rencontrer le responsable de son programme dans le but de choisir sa future thèse de doctorat. Il s'agissait d'un processus plutôt long, puisqu'elle ne pouvait pas avoir le même sujet qu'une autre personne, et ce, peu importe l'année à laquelle la thèse aurait pu être écrite. Cheyenne le savait lorsqu'elle s'était inscrite, et elle n'en avait pas peur. Le rendez-vous ne dura pas très longtemps, puisqu'il consista à présenter une liste vague de sujets qui pourraient être intéressants, la spécification viendrait par la suite.

Après cet entretien, Cheyenne, son sac sur l'épaule, vêtue d'un jean, un t-shirt blanc et d'une veste de cuir, sortit de l'université pour se rendre à la gare de train. Elle devait attendre encore trente minutes avant le prochain départ direction Saint-Bruno, la petite ville de la rive-sud où Cheyenne habitait depuis maintenant deux ans. Elle aurait très bien pu vivre sur l'île de Montréal, mais puisqu'elle avait les moyens d'avoir un condo plus tranquille, pourquoi pas !? Alors qu'elle marchait pour se rendre à la billetterie, elle sentit quelqu'un la pousser derrière elle. Offusquée, elle dit;

- Hey ! On s'excuse quand on bouscule quelqu'un !

Maël avaitl’épaule endolorie, le major Car’sonne n’avait pas hésité pour lui faire un petit combat a la dur, même si Maël avait pus toucher le major Car’sonne, celui-ci n’avait pas hésité à lui faire faire le tour du monde en 15 sec 3/4 , bien que cela ne soit pas dans ses devoirs le major Car’sonne lui donnait 12 h de sport de combat. Bien qu’a chaque fois que Maël sortait de cette entraînement aussi essoré qu’une serviette.

Quand Maël demanda son billet pour Montréal, on lui indiqua qu’il fallait attendre 2
heures. Alors il attendit quand il senti quelqu’un accrochez son sac en bandoulier, un agent de sécurité tiré sur son sac. Maël réagit au car de tour il se souleva grâce a ses mains en appuis su le reste du banc et envoya son pieds valser contre la tête de l’agent, un autre arriva en courant, Maël attendit qu’il y’ai un corps a corps puis abatis le plat de sa main sur sa nuque l’homme s’effondra. Sans comprendre se qui se passait Maël senti un picot
sur le coup, il comprit instinctivement & s’effondrât comme une masse pour
se retrouver dans une salle sombre. Un homme lui posa plein de question au quelle
il ne répondit pas même avec les coups.

- Si vous avez un question appelez le 01325 2365 236

Après quelque minute l’homme se décidât enfin.Après avoir appelé
le numéro, il l’envoya dans un train.
* Ouf Direction Montréal*.
Après 2 heures de train, Maël sortie du train et l’homme qui l’escorter le poussa en
direction de la Billetterie ; Maël trébucha vers quelqu’un et s’affaissa dessus.
- Hey ! On s'excuse quand on bouscule quelqu'un !
Le cocard sur l’œil et les bleus sur ces lèvres lui provoquât, un grognement douloureux.
- Excusez-moi Mademoiselle, mais ce n’est pas de …
L’homme venait de lui taper contre les omoplates, Maël tourna sont regard vers la
Femme.
* Oh… Elle… Ici…*[/size]

Cheyenne n'était pas du genre à s'offusquer dès que quelqu'un la touchait, mais elle s'attendait toujours à avoir des excuses. Étant capable d'admettre ses torts, Cheyenne s'excusait quand elle bousculait quelqu'un, mais cette fois-ci, ça ne pouvait pas être elle, la fautive, puisqu'elle était au guichet électronique en train d'acheter son billet de train et ne bougeait pas ! Plusieurs personnes faisaient cela en même temps qu'elle, alors pourquoi c'était elle qui se faisait bousculer !? Ce qui frustra le plus Cheyenne dans tout cela, c'est que la personne ne crut même pas bon de s'excuser...

Cheyenne entendit les premiers mots d'excuse, du genre "Excusez-moi mademoiselle" après. Pour elle, il était trop tard. C'était un peu ridicule, de vouloir s'excuser après que le mal ait été fait. Quelques secondes après, ça passait encore, mais après que la personne l'ait mentionné, ça devait lâche, nul. Cheyenne était sur le point de passer une nouvelle remarque, peu gênée comme elle l'était, un peu en colère contre le jeune homme qui venait de la bousculer, et lui provoquer une certaine douleur dans le dos. Elle ouvrit la bouche pour parler, mais les mots bloquèrent quand elle vit de qui il s'agissait.

- Maël !? Qu'est-ce que tu fiches ici ? C'est toi qui m'as bousculée ?

Cheyenne connaissait Maël. Ils étaient amis, s'ils pouvaient appeler cela ainsi. Cependant, une petite révélation avait tout changé dans leur relation. Cheyenne s'était sentie trahie, mal à l'aise, et depuis ce temps, ils ne s'étaient plus jamais revus. C'était la première fois depuis un bon moment qu'ils se croisaient, et pas vraiment dans le bon endroit...

Cheyenne et lui ce connaissaient depuis pas mal de temps, mais après avoir avouer c’est sentiments pour Cheyenne, celle-ci était partie pour c’est étude il n’en avais jamais plus entendue parler, et avait du se faire une raison. Maël n’aimer plus Cheyenne, son amitié, lui manquer, leurs complicité lui manquez, mais il ne l’aime pas comme avant c’est sentiments avait bougé et il avait toujours gardé espoir pour la revoir un jour et lui demander que tous redevienne comme avant. Le regard dur de Cheyenne le fit sourire intérieurement,
puisque sa figure empêché la moindre émotion d’apparaître à pars de la souffrance ; Cheyenne avait toujours était prompt a la colère facile et à l’emportement.

- Maël !? Qu'est-ce que tu fiches ici ? C'est toi qui m'as bousculée ?

Il y avait un ton de reproche dans sa voix qui déplut à Maël, puis il regarda le lieu, cette gare était le dernier lieu où il l’avait vu :
~Il était partie en vacance à Montréal et à la fin des vacances il lui a avouez son amour pour elle, le lendemain elle lui avait dit adieu est était partie en courant, sur cette même gare~
Maël s’emporta mentalement *Comment ca ? Qu’est-ce que je fiche là ? C’est plutôt à elle de me le
dire.*Puis choisissent la méthode gentil et sarcastique, il lui répondit,

-J’était partie pour me faire un lifting et je suis revenue. Et Excuse moi encore de t’avoir bousculé vois-tu j’étais moi-même déséquilibré,mais surtout excuse moi d’avoir était, sans mon accord bousculer par c’est deuxgros singes malodorant et abruti de surplus.

Il avait dit sa tirade avec une pointe de reproche qui n’était en rien dus a ce qu’elle venait de lui dire mais plutôt ce qui c’était passer avant et elle comprendrait sur le champ. Le Gorille de gauche, marmonna un truck au gorille de droite qui sortie une phrase avec un vocabulaire de chartrier :

-Bon la pétasse elle va nous laissez passée où on lui casse la gueule.

-Tu serais grée de na pas lui parler comme cela.

-T’gueule.

Maël réagit au car de tour il enfonça son coude dans l’estomac de l’autre et une balle vint se figer dans
la tête de l’autre. Maël ne se demanda pas plus une seconde qui était le tireur et vus le Major Car ‘sonne partir avec un sourire aux lèvres. Le coup n’avait pas eu de détonation, surement un silencieux. Les deux hommes dans les bras il tourna un regard vers Cheyenne :

-Bravo !! Bon tu pourrais m’aider s’il te plaît, on va les mettre sur le banc. Ne t’inquiète pas il ne va rien t’arriver, nous n’avons tué personne.

Maël eu le cœur déchirer car elle allez devoirs lui demandez des réponse qu’il n’aurait jamais le droits de
lui donner, mais les règles c’est les règles...
Maël posa un homme sur le banc et lui retira l'autre des bras, il montra le café près du quai du menton et si précipita.

Cheyenne avait connu Maël il y a un moment de cela, et ils s'entendaient très bien, jusqu'à ce que Maël annonce à la jeune femme qu'il avait des sentiments pour elle. Sachant que leur relation ne serait plus jamais pareille, Cheyenne avait décidé de prendre ses distances, d'autant plus qu'elle avait déjà un petit-ami qu'elle aimait beaucoup et qu'elle n'avait pas l'intention de quitter de si tôt, même s'ils devaient vivre leur relation à distance. Cela avait jeté un froid entre eux, froid qui se traduisait par leur conversation qui était loin d'être chaleureuse.

Cheyenne n'apprécia pas l'ironie dans les dires de Maël, c'est pourquoi elle oublia son billet de train pendant un instant pour se retourner et croiser les bras en le regardant avec un air "Tu veux rire de moi ?". Soudainement, elle entendit la voix d'un homme plutôt arrogant qui venait de parler d'elle en l'insultant, en la traitant de pétasse. Facile à frustrer, Cheyenne allait intervenir quand Maël le fit à sa place. La jeune femme eut un cri de surprise quand elle vit les hommes tomber par terre, atteints d'une balle. Même si Maël lui demanda de l'aide, Cheyenne eut du mal à bouger, trop sous le choc. Ce fut seulement quand il lui montra le café non loin qu'elle y suivit, et une fois qu'ils furent à l'abri des regards, elle dit:

- C'est quoi cette histoire !? Qui étaient ces hommes !? Qui a tiré !?

Il était rare que Cheyenne paniquait, mais elle tentait de comprendre ce qui était arrivé, sans y arriver. Elle posait une tonne de questions, sans avoir les réponses, ou du moins, pas pour le moment.

[Désolée si c'est court]

Tous s'enchaîner a une vitesse folle, Cheyenne et Maël, allèrent s'assoir au café de la gare qui donnait sur une vue magnifique sur celle-ci. Maël allez pour demandait à un garçons de café de venir prendre leurs commandes, quand la voix de Cheyenne retentit, que les mots que dit cette dernière étaient ceux qu'il avait autant redouter, il ne savait pas quoi répondre quoi faire, car si avant même d'avoir un vrais poste au DECODE CENTER, il en parle a tire larigot, il ne sera jamais pris. Il essayait de tisser un mensonge qu'il pourrait lui dire, mais l'inspiration n'était pas là, et l'envie non plus, retrouvé une vielle amie puis luis mentir tous de suite, alors il fit ce que fais toute personne qui ne veut pas mentir il ignora complètement la question. Il la regarda dans les yeux lui fit un magnifique sourire et lui demanda ce qu'elle voulait boire. Avant même que celle-ci lui réponde ou l'insulte, il appela le serveur:
-Garçons, je voudrai un café s'il vous plais, Et toi tu veux quoi ?C'est pour moi.
Le garçons de café se tourna vers Cheyenne avec son bloc dans la main.

(très court Désolez ='( )

[Essaie quand même de faire 10 lignes complètes la prochaine fois...]

Cheyenne était terriblement frustrée en ce moment, si bien qu'elle était persuadée que dès qu'elle aurait quitté la gare, elle aurait la ferme idée de ne plus jamais adresser la parole à Maël. Elle avait des bonnes raisons après tout, il se passait un tas de choses que la jeune femme ne comprenait pas du tout, et que devait-elle faire dans cette situation, selon son "meilleur ami", rien ! Cela la frustrait vraiment, d'autant plus que Maël tentait de retarder le moment où il allait finalement lui dire ce qui se passait, s'il daignait le faire un moment donné.

La jeune femme avait enchaîné ses questions, trois plus précisément, qui méritaient d'avoir des réponses, mais qu'est-ce qu'elle recevait en échange ? Rien du tout. En fait, elle se fit offrir un café par Maël, qui ne lui laissa même pas le temps de parler, puisqu'il appela le serveur qui se tourna vers elle pour lui demander ce qu'elle voulait. Dans un simple esprit de vengeance, elle commanda ce qu'il y avait de plus cher au niveau des cafés, dans ce cas:

- Un grand allongé au caramel avec de la crème et des copeaux de chocolat par-dessus. Oh et n'oubliez pas le petit biscuit à l'intérieur, s'il vous plait.

Cheyenne mit son coude sur la table et appuya sa tête dans sa main, regardant Maël d'un air interdit. S'il n'était pas capable de comprendre qu'elle voulait des réponses à ses questions, il était fort bien placé pour lui avoir déjà avoué qu'il était amoureux d'elle. C'était depuis ce temps que leur relation laissait à désirer, et Chey' pensait avoir de bonnes raisons d'agir ainsi. Par contre, lorsqu'elle sentit que la seule chose qui allait probablement se passer entre eux si elle n'intervenait pas, c'était probablement un long silence qui aurait tôt fait de frustrer encore plus la jeune femme, elle dit:

- Alors tu vas répondre à mes questions ou bien tu vas encore me laisser te bouder pendant un autre mois ?!

Cheyenne était du genre plutôt rancunière lorsque quelque chose ne lui plaisait pas. Elle détestait ne pas avoir d'explications, et cela paraissait. Même si Maël était, techniquement, son meilleur ami, si elle n'avait pas de réponses, elle aurait tôt fait de ne plus lui adresser la parole, ce qu'elle serait parfaitement capable de faire, parce que outre les problèmes de son ami, elle avait beaucoup d'autres chats à fouetter.